Forbidden Stories
Green Blood

À propos de Green Blood

Par Forbidden Stories

17 juin 2019

Sur tous les continents, les journalistes connaissent des difficultés lorsqu’ils enquêtent sur les questions environnementales. Depuis 2009, au moins 13 journalistes ont été tués après avoir travaillé sur des sujets liés à l’environnement, selon le Committee to Protect Journalists. Le total pourrait même atteindre 29 cas, CPJ enquête toujours sur 16 autres décès.

La série « Green Blood » a poursuivi les investigations de trois reporters, tous empêchés d’enquêter sur les dommages environnementaux et autres abus de compagnies minières.

Pour la première fois, 40 journalistes de 15 pays différents ont été réunis par Forbidden Stories pour faire toute la lumière sur ces chaînes de production minières opaques en Inde, en Tanzanie et au Guatemala, grâce à un travail sur le terrain et en ligne, à l’aide d’outils Open Source.

Le résultat de ces huits mois d’enquête collaborative sera publié la semaine du 17 juin dans 30 organes de presse du monde entier.

La liste complète des 13 journalistes tués entre 2009 et 2019:

These are the 13 reporters killed between 2009 and 2019: Crispin Perez (Philippines, 2009), Desidario Camangyan (Philippines, 2010), Ardiansyah Matra’is (Indonesia, 2010), Gerardo Ortega (Philippines, 2010), Darío Fernández Jaén (Panama, 2011), Wisut “Ae” Tangwittayaporn (Thailand, 2012), Hang Serei Odom (Cambodia, 2012), Sai Reddy (India, 2013), Mikhail Beketov (Russia, 2013), Jagendra Singh (India, 2015), Soe Moe Tun (Myanmar, 2016), Karun Misra (India, 2016), María Efigenia Vásquez Astudillo (Colombia, 2017)

Soutenez-nous, nous enquêterons​

Nous avons besoin de votre aide pour exposer ce que les ennemis de la presse cherchent à taire.

À lire aussi

green-blood_tanzania_1
green-blood_overview_1
green-blood_india_1