Si un journaliste tombe d’autres se lèvent et poursuivent ensemble son travail : c’est le principe simple de Forbidden Stories.
Ce n’est pas qu’une question de solidarité. Il est impératif d’informer l’opinion publique sur des sujets aussi pressants que dangereux à couvrir, comme les crimes environnementaux, les violations des droits humains ou la désinformation.
Nos enquêtes en accès libre
Chiffres clés
Depuis sa création, 120 médias ont collaboré avec Forbidden Stories.
C’est le nombre de journalistes, issus de 54 pays, qui ont travaillé sur nos enquêtes depuis 2017.
Nos enquêtes collaboratives ont multiplié par 1 320 la portée de nos histoires interdites. C'est ce que nous appelons l'effet Streisand.
Plus de 200 journalistes gravement menacés partagent de manière sécurisée leurs enquêtes en cours avec nous. S'ils venaient à être assassinés ou emprisonnés, nous poursuivrons leur travail.
Le mécanisme SafeBox est utilisé par des journalistes basés dans près d'une quarantaine de pays.
80 % des journalistes qui sécurisent leurs informations avec nous ont choisi de communiquer à ce sujet afin de dissuader ceux qui les menacent.
SafeBox Network : un puissant moyen de dissuasion
« Quoi que vous fassiez pour essayer de me faire taire, vous perdez votre temps »
« Le fait d’annoncer que nos informations sont sécurisées a un effet dissuasif sur les tentatives de répression ou de menace »
« Le SafeBox est le coup le plus puissant porté aux ennemis de la liberté de la presse. Il est devenu l’allié le plus fiable des journalistes du monde entier.»
« J’ai rejoint le réseau SafeBox pour protéger mes enquêtes et garantir que, malgré les menaces, mes informations soient révélées »
« Les ennemis de la presse réfléchirons à deux fois avant de commettre de tels crimes »
« Je pense que cela protège à la fois notre travail et notre vie »
« Personne d’autre que moi n’écrit de telles histoires. Si je ne le fais pas, qui le fera ? Le réseau SafeBox pourrait m’apporter plus de sécurité »
« J’ai décidé de rejoindre le SafeBox afin de sécuriser mon travail journalistique en m'appuyant sur un collectif fiable qui le protégera et poursuivra mes enquêtes si nécessaire »
« Trois journalistes ont déjà été assassinés dans la région. Le réseau SafeBox est exactement ce dont j'ai besoin »
« La lutte contre la désinformation bouscule des intérêts puissants, et certains sont prêts à tout pour parvenir à leurs fins. Grâce au SafeBox, je peux mener ce combat avec plus de sérénité »
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